Une fois les multiples aventures de Octopath Traveler achevé, je voulais un petit rapide à faire en attendant la venue de Astral Chain. Car oui, même si j’ai beaucoup de retard sur l’actualité des jeux vidéo, il y a certains titres pour lesquels je ne patiente pas 🙂
Donc pour patienter j’ai regarder ma pile de jeux PSVita et mon envie s’est porté sur Child of Light qui sera mon jeu fini du mois d’Août.
Un petit jeu de plateforme…. mmmh pas vraiment :
En me lançant dans Child of Light, j’avoue que je m’attendais à une jeu de plateforme dans un monde enchanté. J’avais juste pour le côté enchanté mais pas trop sur le style plateforme. Les combats au tour par tour dynamiques et la partie RPG du jeu m’ont agréablement surprise. Et heureusement car…. à part ça y a pas grand chose qui m’a captivé.
Si l’histoire commence de manière intéressante et que le style conte de fée est rafraîchissant, ça ne sera pas constant dans le jeu. L’histoire se développe progressivement au début puis s’endorst complètement pour être vite expédiée à la fin. C’est dommage car quelques sursauts scénaristiques laissaient présager un travail plus poussé… Entre temps, on rencontre de nouveaux personnages plutôt originaux dans leur style graphique qui aiment nous raconter leurs vies et s’incrustent avec nous même si cela n’apporte rien au niveau du scénario au globale.
En plus de cela, les dialogues sont écrits sous forme de rime qui même si on peut saluer le travail fait la dessus, devient assez lourd et ne permet pas une bonne immersion.
Bref, ce n’est pas du côté de l’histoire qu’il faut chercher un intérêt à Child of Light.
Un petit jeu RPG… mmmh pas vraiment :
Comme je le disais en introduction, Child of Light n’est pas vraiment un jeu de plateforme en 2D comme on pourrait le croire. Notre personnage, Aurore, acquière très vite des capacités qui vont lui permettre de carrément voler dans les airs de manière illimitée. Donc exit le côté plateforme qui se transforme en exploration dans tous les sens pour dénicher des coffrets ou des manuscrits parfois bien caché. Il faudra d’ailleurs faire appel à la petite lumière qui nous accompagne nommée Igniculus pour débusquer les passages secrets et résoudre les petites énigmes. Émanant de la lumière, ce second personnage personnage apporte un peu de fraîcheur au gameplay avec la possibilité des récupérer les orbes qui flottent dans les aires, révéler des entrées cachées ou résoudre des énigmes. Il se révèle aussi fort utile en combat où il peut soigner nos personnages ou ralentir l’ennemi.
Les combats justement, c’est là où on trouvera plus d’éléments intéressants.
Malheureusement que ce soit la gestion des arbres de compétences ou celle des pierres précieuses, il n’y a rien de bien compliqué ou de passionnant d’autant plus que le jeu est assez simple pour ne pas avoir nécessairement à y passer 4h.
[su_box title=”Bilan” style=”glass” box_color=”#FFA61A” radius=”7″]En conclusion… ben j’ai du mal à comprendre les notes 19/20 que j’ai pu voir dans la presse. J’y ai peut-être joué trop tard ? ou mes attentes étaient trop haute ? Néanmoins même si je le trouve au final un peu simple et bancale sur l’histoire tout n’est pas mauvais dans Child of Light. Je retiendrais les combats sympathiques et l’originalité graphique du jeu. Child of Light peut être un bon je à conseiller pour le plus jeunes ou les débutants dans le style RPG.[/su_box]